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Gestion de projet numérique et management
Le chef de projet numérique est là pour répondre à vos besoins de développement. Il ne sert pas uniquement à coordonner un projet. Il est également force de proposition dans les solutions technologiques à adopter et les actions à mener pour atteindre les objectifs fixés.
Au fil de mes années d'études et en entreprise, j'ai eu l'occasion de gérer différents projets, de façon partielle ou en totalité. J'ai l'habitude de travailler en équipe avec des profils pluridisciplinaires et experts dans leur domaine.
Concernant mes diplômes et certifications :
- Je suis diplômé du Master 2 en Web management, Marketing digital et Médias sociaux reconnu par l'État et inscrit au RNCP de Sup de Pub Bordeaux.
- J'ai obtenu la certification du parcours avancé du MOOC Gestion de Projet de Centrale Lille, gage d'une validation approfondie.
Sur cette page je détaille
ma vision moderne de la
gestion de projet et du
management.
Sommaire
Gestion de projet
La
gestion de projet est une
science à part entière. Cela ne s'improvise pas. Beaucoup de gens sont très talentueux dans leur
domaine d'expertise, cela ne veut pas dire pour autant qu'ils feraient d'excellents
chefs de projets ou
pédagogues.
Tout le monde n'est pas forcément taillé pour
administrer des projets complexes et interagir avec les
parties prenantes utiles au bon déroulement des choses. Cependant cela s'apprend et même les
professionnels les plus aguéris tirent chaque jour de
nouveaux enseignements de leurs projets.
Je travaille constamment en "
mode projet", que ce soit en entreprise pour des clients ou sur mes projets personnels. Je peux vous accompagner dans vos
projets de développement de produits numériques.
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Un profil polyvalent
Aujourd'hui les
parties prenantes n'attendent pas d'un
chef de projet qu'il soit uniquement un
bon gestionnaire. Il doit certes
mener à bien des projets jusqu'à leur terme et
assurer la continuité des services dont il a la charge mais il doit aussi trouver des
leviers marketing et
anticiper la croissance.
Dans le
numérique, un
chef de projet doit savoir faire beaucoup de choses (parfois même trop), ou du moins posséder des
notions de base suffisantes dans bon nombre de domaines. Une telle
gestion de la diversité est un véritable tour de force que beaucoup ne pourraient assumer.
Le
chef de projet peut être ammené à effectuer des tâches liées à la
communication, au
marketing digital, au
référencement, au
développement informatique (HTML, CSS basiques), à la
rédaction web, à la
retouche photo, à la
prise de vue, au
montage, à l'
animation de communautés et à tout autre métier en lien avec le
numérique.
Idéalement un
chef de projet devrait être cantonné à un rôle de
coordinateur. Cependant, nous savons pertinement que dans un
environnement de production le
chef de projet est très souvent ammené à intervenir lui-même sur des
problématiques techniques.
Plusieurs experts opérant sur leurs propres thématiques
seront toujours plus rapides qu'un seul expert sur plusieurs domaines. Un
chef de projet peut à lui seul faire de la communication, du montage vidéo, du code et du référencement à
haut-niveau, mais
la complétion de ces tâches va inévitablement s'étaler dans le temps.
Toutes ces
connaissances de base restent malgré tout
incontournables pour avoir une
meilleure vision d'ensemble des choses. Mes
connaissances techniques de
différents métiers du numérique sont autant d'atouts qui peuvent bénéficier au
développement de votre organisation.
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Connaître le métier et les attentes de l'autre
Un
chef de projet doit
se faire bien comprendre de tous et
s'adapter aux besoins de l'ensemble des
parties prenantes. Il doit tout mettre en œuvre afin d'
éviter le plus possible les quiproco et mauvaises interprétations pouvant engendrer une
perte de temps et d'argent et conduire à de
mauvais résultats.
C'est un véritable
diplomate capable de
répondre aux attentes et exigeances de chacun. Il possède de véritables
compétences en négociation pour ammener les partenaires à
respecter leurs engagements tout en faisant en sorte que
chacun y trouve son compte.
Par nécessité de
synthèse et manque de
curiosité personnelle, bon nombre de
chefs de projet se contentent d'effleurer la plupart des domaines qu'ils investissent. En se limitant dans le simple fait de demander aux autres quoi faire, ils ne voient qu'une petite partie des
contraintes de leurs collaborateurs.
Comment se répartit le
prix de vente d'un produit entre les
différents acteurs (un livre par exemple) ? De
combien de temps a besoin un artiste pour réaliser une illustration complexe ? Dans
combien de temps mon nouveau site sera référencé ? Quelle est la
part de débogage et maintenance d'un projet informatique ?
Toutes ces
connaissances métiers spécifiques traitant du
fonctionnement des marchés (concurrence),
politiques de prix (marges),
solutions technologiques,
infrastructures,
matériaux,
chaînes de fabrication,
processus et autres sont autant d'
informations stratégiques indispensables pour faire de la
négociation équitable et
nouer de bons partenariats durables.
J'ai la chance d'exercer de nombreux
métiers du numérique au quotidien : référencement, développement, communication, production de contenus, etc. Cela me permet de
mieux anticiper le temps que peut prendre une tâche selon le
niveau d'expérience de la personne et sa
manière de procéder, même si de façon générale il vaut mieux prévoir une
marge de sécurité.
Je suis capable de
délivrer un avis pertinent sur ce qui
répond aux attentes ou ne respecte pas les
standards de production et de qualité attendus par les
consommateurs. Je peux faire des
recommandations techniques en profondeur et
suivre leur bon déroulement.
Ne pas s'intéresser au
métier et aux
contraintes de l'autre, c'est naviguer à l'aveugle. Les
connaissances métiers permettent de
faire la différence entre un bon et un excellent
chef de projet. J'essaie un tant soit peu de
donner du sens à mon travail et mes actions et ma
polyvalence sont une réponse à cela.
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Les outils de la gestion de projet
Le
chef de projet dispose de tout un arsenal d'
outils et de
méthodes pour mener ses projets à bien, que ce soit des outils de
planification ou des outils métiers.
Chaque métier possède ses propres méthodes, logiciels et outils et le
chef de projet numérique doit en connaître quelques uns pour mener ses tâches de production à bien. La liste est nombreuse, en voici quelques uns :
- Gestion de projet : Charte de projet, cahier des charge, triangle QCD (Qualité, Coûts, Délais), carte des parties prenantes, WBS (Work Breakdown Structure), matrice RACI (Réalise, Autorité, Conseille, Informé), post-mortem (derniers retours d'expérience).
- Méthodes : Roue de Deming/PDCA (Planifier, Développer, Contrôler, Ajuster), Méthodes Agiles (Scrum, XP, Lean, etc.), Kaizen.
- Planification : Gantt.
- Stratégie : Profil de projet, SWOT, PESTEL.
- Production :
- Gestion du temps : Podomoro.
- Métiers : suite Adobe.
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L'anticipation et la gestion de crise
Viennent s'ajouter aux outils de base des outils liés à la gestion de crise.
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Méthodes agiles et Scrum
Il existe des dizaines de méthodes agiles facilitant le travail en équipe. Elles se basent toutes sur le manifeste agile, un ensemble de 4 valeurs et de 12 principes permettant de fluidifier le travail en équipe et de délivrer un produit de qualité répondant parfaitement aux attentes du client.
L'une des méthodes agiles les plus utilisées est Scrum (la "mêlée" comme au Rugby).
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Management
Le
management et la
gestion de projet sont très liés. La différence entre les deux se fait dans le degré de détachement entre l'
opérationnel et l'
exécutif. Plus on prend du recul, plus on a une
vision d'ensemble des choses mais on s'éloigne des
problématiques de terrain.
Un
chef de projet reste uniquement dans le
périmètre du produit ou service qui lui est confié tandis que le
manager peut être ammené à
diriger toute une
équipe d'experts en charge de plusieurs produits.
J'ai une petite expérience en
gestion d'équipe et
coordination des
talents. Je me sens tout à fait capable de
diriger des équipes et possède les
qualités humaines et
techniques pour le faire dans mes
domaines d'expertise du
numérique.
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La pensée systémique
La
pensée systémique est un
courant de pensée qui permet de
traiter la complexité en décomposant notre monde au travers d'un
ensemble de systèmes et de sous-systèmes. Elle
facilite la
supervision et la
prise de décision.
Une entreprise ne peut se développer seule, comme si de rien n'était, sans prendre conscience de sa place dans la
mondialisation et de son
impact sur le monde. La
pensée systémique a pour but de mettre en exergue toutes les
influences que peuvent subir les
parties prenantes d'un
système, que ce soit un individu ou une organisation.
J'ai l'habitude de composer avec une multitude d'informations et d'éléments au quotidien. La
gestion de la compléxité fait partie intégrante de
mes processus et de
mon état d'esprit. Je peux vous aider à
prendre la hauteur dans vos projets et
perfectionner la gouvernance de votre structure.
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De manager opérationnel à coach professionnel
La
posture du manager a pas mal évoluée ces dernières décénies avec l'arrivée de
nouvelles connaissances en
Sciences de Gestion issues principalement des États-Unis qui ont toujours un temps d'avance sur le monde, et notamment sur la France.
Le
manager doit certes toujours s'assurer que la
production bat son plein et que ses
équipes disposent de toutes les
ressources nécessaires pour mener leurs
tâches à bien, mais il doit aussi veiller au
bien-être de ses
collaborateurs et les
accompagner dans leur
montée en compétences.
Les études récentes le prouvent, un
collaborateur épanoui dans son travail est
plus productif et enclin à
rester plus longtemps dans la même entreprise tout au long de sa
carrière. Nous connaissons tous les
coûts élevés d'un recrutement et les ravages que peuvent occasionner un
turn-over élevé sur les
bénéfices et la
réputation d'une entreprise.
C'est là que le
manager entre en jeu en adoptant la posture de
coach professionnel. Maillon essentiel de la
marque employeur, le
manager coach accompagne ses
collaborateurs dans leur propre
développement professionnel : environnement de travail adapté, missions pertinentes, acquisition de nouvelles compétences, évolution de carrière.
Bien qu'
accompagner les salariés dans leur
plan de carrière soit également le rôle des
responsables RH, ces derniers sont souvent
déconnectés du terrain par rapport aux
managers opérationnels qui eux possèdent une véritable
expertise métier.
Tous les jours au contact de leurs équipes, les
managers sont les mieux à même de
connaître les besoins et
ambitions de leurs
collaborateurs, du moins les plus
professionnels et
honnêtes d'entre-eux. Comme partout il existe aussi de bien
mauvais managers qui ne servent que leurs
propres intérêts et non ceux du
collectif et de leur entreprise.
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L'humain vaut plus que toute méthode de travail
Un
manager connait un certain nombre de
méthodes permettant de
fluidifier le travail en équipe. Il est cependant dangereux de se reposer uniquement sur ces méthodes et de délaisser l'
aspect humain qui, avec l'
expertise technique, représentent plus de la moitié de la
réussite d'un projet.
Un individu seul peut prendre de
bonnes habitudes qui peuvent conduire à de formidables
économies d'échelle. Les
meilleurs salariés, ceux qui sont le plus
investis dans leur entreprise, se voient pour la plupart obligés d'aller à l'encontre de
décisions managériales stupides pour
rester productif jusqu'au lâcher prise.
Le
rôle du manager est également d'
identifier ces
éléments moteurs au sein des organisations et éventuellement les transformer en véritables
ambassadeurs de marque (employee advocacy).
Les
méthodes de management peuvent aussi être
utilisées contre les salariés pour
exercer des pressions à leur encontre ou préparer le terrain à une
délocalisation par exemple. On citera le cas de Paintel en France où le
Lean Management n'était un
prétexte pour
pousser les salariés vers la sortie et vider l'usine de ses outils de production.
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L'environnement de travail compte pour moitié
L'
environnement de travail ne devrait pas seulement être l'affaire du
manager du bonheur (happiness manager). Tous les
collaborateurs sont
responsables de leur
environnement de travail : du simple salarié au manager, cadres-dirigeants et PDG.
Les
open spaces sont la
solution économique par excellence et la plupart des startups et petites entreprises y ont recours
par défaut. Il n'empêche que les études s'accordent sur le fait que les
open spaces sont
source de stress, bruyants, génèrent de la promiscuité, favorisent la
surveillance omniprésente et
réduisent la concentration et la
productivité.
Les
open spaces sont "la
solution du pauvre" mais certainement
pas le mode d'organisation préféré des travailleurs qui plébiscitent en majorité les
bureaux fermés individuels, puis les
bureaux fermés collectifs. Les dirigeants ne s'y trompent pas : plus on monte dans la
hiérarchie, plus on s'arroge le droit d'être dans un
bureau fermé.
Et que dire du
flex office, cette pratique consistant à
ne pas attribuer de poste fixe à ses salariés en leur permettant de se poser où ils le souhaitent dans les
locaux de l'entreprise. Au lieu de lever des barrières et rendre les collaborateurs plus flexibles, le
flex office attise les
tensions et
diminue le sentiment d'appartenance à l'entreprise.
Dans certaines structures, il faut arriver tôt et
se battre pour réserver un box vitré au calme, quitte à passer pour un poisson dans un aquarium ou un animal en cage. La plupart des gens pratiquaient déjà le
flex-office pour
fuir les open-spaces mais quand tout le monde s'y met c'est le chaos.
Pour ma part, je suis capable de travailler dans n'importe quel type d'environnement, en open space, en flex office ou dans un bureau, en faisant abstraction du bruit ambiant et autres nuisances. Il faut faire avec les
moyens de l'employeur. Cependant, la
solution choisie aura inévitablement un
impact sur la productivité et le
sentiment d'appartenance au groupe.
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L'entreprise n'est pas une garderie
Bien qu'il soit tout à fait possible pour un individu de
s'épanouir dans son travail, il ne faut pas oublier qu'il est surtout là pour subvenir aux besoins de sa famille. Il ne faut pas se leurrer, rares sont les salariés qui continueraient à aller travailler après avoir gagné au loto ou à l'euromillion.
Les
gestionnaires d'entreprises rivalisent d'imagination pour garder leurs salariés le plus longtemps possible dans les murs afin qu'ils travaillent plus. Ils oublient que
l'entreprise n'est pas une garderie censée amuser les gens la journée. C'est le lieu où la
création de richesse se fait.
Une salle de repos ou de jeux avec un baby-foot, une console de jeu ou un distributeur de bonbons ne remplaceront jamais un
manager à l'écoute qui croît en vous. Vous retiendrez peut-être plus longtemps vos collaborateurs dans les locaux de l'entreprise, mais toutes ces
distractions ne les rendront pas plus efficaces, bien au contraire.
N'importe quel avantage tangible propre à la
qualité de vie, à la
santé ou au
pouvoir d'achat sera plus apprécié par vos collaborateurs : bon salaire, bonne mutuelle, primes, treizième mois, service de conciergerie, restauration d'entreprise, crèche, voiture de fonction, salle de sport. Cela vaut mieux que des gadgets qu'ils ne peuvent ramener à la maison.
Je suis très attaché à l'
équilibre vie privée/vie professionnelle. Comme dans les pays anglosaxons, je considère qu'un travailleur qui ne débauche pas à l'heure est quelqu'un qui manque de
discipline, de
méthode et de
créativité. Un individu qui a besoin de
faire des heures pour terminer un travail fait également
perdre du temps à ses collègues qui dépendent de son avancement.
Le
manager peut contribuer à ce que les membres de son équipe
tiennent leurs délais et ne se retardent pas les uns les autres. Il peut pour cela mobiliser les
ressources à sa disposition ou directement
coacher les personnes en difficulté en les aidant à mieux
gérer leur temps ou
monter en compétences.
Au-delà du cadre de travail, le comportement de chacun reste primordial. Un individu pessimiste ou à fleur de peau peut saper toute volonté du reste de l'équipe.
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De la gestion des personnalités difficiles et hors-normes
Nous sommes tous ammenés à cotoyer plusieurs
types de personnalités dans nos vies. Le
manager lui a la lourde tâche de
prendre des décisions vis à vis des individus qui posent problème, que ce soit au niveau de la
productivité ou du
comportement.
Dans le monde du travail il n'y a qu'un seul
indicateur de personnalité qui compte, celui du
professionnalisme. Les principales composantes du professionnalisme sont : le respect, l'éthique, la distance et la maîtrise.
Une
personnalité atypique peut être un
atout majeur dans une équipe, à condition quelle fasse
preuve de respect avec les autres. Un individu un peu rûde, bourru ou sec n'est pas foncièrement mauvais. Les jugements à l'emporte pièce sont autant de
biais cognitifs qu'il vaut mieux déceler pour
ne pas enfermer les gens dans des cases.
En revanche, les
personnalités toxiques doivent être neutralisées à tout prix. Il s'agira de ne pas leur accorder d'importance, leur donner la moindre attention ou de rentrer dans leur jeu. Les placer en "
quarantaine" jusqu'à qu'une alternative soit trouvée (mutation, départ, etc.) est souvent la seule solution.
En cas de
manquements graves, le
manager dispose de tout un
panel de mesures pour sanctionner un individu récalcitrant dans son travail ou son
comportement avec les autres. Cela peut aller du simple blâme au licenciement en passant par la mise à pied, la rétrogradation voire la mutation même si on espère ne pas devoir en arriver à de telles extrêmités.
Au fil de mes
expériences professionnelles, j'ai eu affaire à une multitude d'individus aux
profils divers. Je suis capable de mettre mes états d'âme de côté et de
travailler en bonne intelligence avec des gens de
bonne volonté. La
confrontation ne me fait pas peur, surtout si elle s'avère nécessaire au
déblocage d'une situation problématique ou conflictuelle.
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